Cours c débutant
Cours c débutant
C’est un besoin courant en ergonomie Web marquer visuellement un lien dans un menu de navigation comme ‘actif’ ou ‘en cours‘. Pour une page donnée du site, on voudra par exemple mettre en évidence le lien vers la page en question (si le menu propose un accès direct à chaque page) ou bien le lien vers la rubrique ou partie du site dans laquelle le visiteur se trouve.
Les débutants en HTML et CSS cherchent souvent à utiliser la pseudo-classe CSSactive pour arriver à ce résultat. C’est une erreur, qui relève d’une confusion entre ‘page active’ ou ‘lien actif’ et ‘état actif’ d’un élément HTML.
La pseudo-classeactive permet de donner des styles à un élément qui ne seront appliqués que lorsque l’élément sera dans sont état ‘actif’, c’est-à-dire pour un lien ou un bouton lorsqu’il sera cliqué. Cela correspond au troisième état de ce que l’on appelle un ’bouton trois états’ dans les interfaces informatiques.
Notez que sur le Web, on utilise assez peu ce troisième état (élément cliqué ou activé), car cliquer sur un lien ou un bouton d’envoi de formulaire a généralement comme conséquence de changer de page… ce qui suffit déjà largement à indiquer à l’utilisateur que son action (cliquer) a eu un effet. De plus, designer un troisième état peut être une perte de temps lorsque cet état ne sera visible qu’une fraction de seconde (la page en cours étant remplacée par une autre lors du clic).
Le ski alpin est un sport de glisse qui consiste à descendre une pente enneigée à l’aide de skis.
Les compétitions de ski alpin
Histoire
Provenant des pays scandinaves (la Norvège en grande partie), le ski alpin est un dérivé du ski nordique. Il faut remonter jusqu’en 1880 pour voir apparaître les premiers skis conçus pour la descente, et, inventé par les Norvégiens, aussi inventeurs du Télémark. Les premières règles codifiées du ski alpin sont établies en Autriche par Mathias Zdarsky et Hannes Schneider, en 1896.
En France, le ski alpin arrive en 1897 sur le Mont Guillaume dans les Hautes-Alpes, sous l’impulsion du 28e bataillon des chasseurs alpins. Le ski est d’ailleurs introduit dans l’armée au tout début du 20e siècle. C’est en Suisse, à Davos que sont organisés les premiers concours internationaux de ski. Ces derniers qui ont lieu en 1902 et 1907, sont alors réservés uniquement aux militaires.
En 1911, Arnold Lunn organise la première compétition à Crans Montana en Suisse. Ce n’est que dix années plus tard qu’apparaît la première véritable école de ski à Sankt-Anton en Autriche, ce qui entraîne en même temps, la naissance du slalom. Deux ans plus passent et les fédérations se créent. La Fédération internationale de ski (FIS) et la Fédération française de ski (FFS) sont inaugurées à l’occasion des premiers Jeux Olympiques d’hiver à Chamonix qui ont lieu en 1924. Malheureusement, seul le ski nordique y est présent. Il faut patienter jusqu’en 1931 et les premiers championnats du monde de ski Alpin (organisées en Suisse par Arnold Lunn) pour faire adopter les épreuves alpines à la Fédération internationale. Le ski alpin est alors intégré aux Jeux Olympiques de 1936 à Garmisch-Partenkirchen. histoire du ski
Catégories
En compétition, les skieurs s’élancent un par un pour un contre la montre dans différentes disciplines. Les compétitions sont organisées par la Fédération internationale de ski (FIS, fondée en 1924) et le ski alpin a fait ses débuts olympiques lors des Jeux olympiques d’hiver de 1936.
Les championnats du monde
Disputés depuis 1931, officialisés par la FIS depuis 1950, les championnats du monde se proposent de couronner ses vainqueurs sur une seule course, à la manière des Jeux olympiques. Ces épreuves se déroulent désormais sur une dizaine de jours, tous les deux ans (années impaires).
La Coupe du monde
Les courses d’un jour comme celles proposées aux Jeux olympiques ou aux Championnats du Monde sont parfois injustes. Afin de pallier cette carence, la FIS a soutenu lors de son Congrès de Beyrouth la projet de la Coupe du Monde lancé en août 1966 par Serge Lang et ses amis, dont l’ancien Président Marc Hodler, lors des Championnats du Monde de Portillo. Des points étaient attribués aux premiers des courses retenues dans le calendrier international et un classement général récompensait ensuite le coureur le plus complet de l’hiver en fin de saison. Elle intégra au cours de son histoire l’Arlberg-Kandahar et les autres « Classiques » comme le Lauberhorn de Wengen, dans l’Oberland bernois suisse ou le Hahnenkamm de Kitzbühel, dans le Tyrol autrichien. Les étapes françaises les plus connues sont celles de Val d’Isère (Critérium de la 1re Neige), de Chamonix (Kandahar) ou de Megève (Grand Prix Émile Allais).
Formations et options
Le lycée propose les 3 séries du baccalauréat général et 1 une série technologique. Pas moins de 7 langues vivantes sont proposés aux élèves ce qui permet au lycée d’avoir le ‘Label langues’ de l’éducation nationale. 4 autres options et 1 langue morte sont aussi enseignées dans l’établissement. Enfin, une formation du supérieur est proposée.
Langues
De nombreux échanges et voyages sont organisés, notamment en Italie, Espagne, Angleterre et même États-Unis. Des projets pour des voyages au Japon et en Chine sont à l’étude.
Côté langue morte, seul le latin est enseigné, ce n’est pas une formation de ‘grand débutant‘, c’est une suite de la classe de troisième au collège. Pour le baccalauréat, seul des points au-dessus de la moyenne comptent.
MPI
Mesures Physiques et Informatique (MPI) est une option contingentée de 36 places qui n’est enseignée qu’en seconde. Elle prédestine à une première S mais rien n’empêche des élèves qui n’ont pas suivi cette option en seconde d’intégrer classe de S en première et vice versa. Ce sont des cours de 3 heures par semaine qui s’apparente à de la Physique-Chimie. Ils ont lieu dans le bloc scientifique.
IGC
Informatique de Gestion et Communication (IGC) est une option qui se fait qu’en seconde. Elle prédestine à une première STG mais là aussi rien n’interdit a un élève qui n’a pas choisi cette option en seconde d’intégrer une classe de première STG et vice versa. En 3 heures par semaine, l’enseignement consiste en l’utilisation de réseaux informatiques locaux, internet, intranet… et en la création de 3 à 5 projets par an.
SES
Sciences Économiques et Sociales (SES) n’est qu’on option de détermination en seconde mais elle peut devenir la matière principale pour ceux qui choisiront en première et en terminale la section ES. En seconde, en 2 heures et demi par semaine, l’enseignement consiste en une première approche des SES. Là aussi rien n’empêche un élève qui a pris cette option en seconde de ne pas faire ES en première et vice versa, à la différence notable qu’il devra faire des cours de rattrapage durant le premier semestre (2 heures par semaines).
Arts plastiques et Image numérique
Dès la seconde et pendant 2 heure par semaine, cette option propose des cours d’arts plastiques, ainsi q’une initiation au dessin sur ordinateur, notamment quelques bases en 3D. Cette option reste cependant à majorité plastique. Cette matière compte comme une option au bac, seul les points au-dessus de la moyenne sont pr
is en compte.
Le Lycée
Organigramme
Michel Perge a remplacé à la rentrée 2007 Bernadette Aigle, proviseur depuis 3 ans. Il est secondé par Yves Bitard. Il y a deux CPE, Mme Luzignant et Mme Guérin, la première s’occupant des classes de premières et de seconde (impaires) et la seconde des classes de terminale et de seconde (paires). Depuis la rentrée 2010, l’ancien proviseur adjoint a été remplacé par Mme Gilbeau, et c’est désormais Mme Luzignant qui s’occupe des classes de terminales.
Architecture et Environnement
Le lycée a la particularité d’arriver après un collège et une école primaire, ce qui fait que plusieurs architectures se côtoient suite aux différents agrandissements. L’établissement est étendu, quasiment tout le temps de plain-pied, seul le bloc scientifique (2 étages) et l’internat (1 étage et demi) sont en hauteur.
Fin 2006, le Conseil d’administration du lycée a décidé de renommer les différentes cours du lycée avec des titres d’œuvres d’Antoine de Saint-Exupéry, à savoir Citadelle, Courrier sud, Terre des hommes, Le Petit Prince et Vol de nuit. Les élèves peuvent profiter de larges espaces de verdures notamment dans les cours Citadelle, Le Petit Prince et Courrier sud. Le lycée est non-fumeur.
Accès
Le lycée se trouve dans le quartier populaire de Port Neuf, allée de Lattre de Tassigny. Situé à moins de 200 mètres de l’océan Atlantique, les élèves ont régulièrement la chance de profiter d’une vue sur la mer (Fort Boyard, Phare du bout du monde…) notamment depuis le réfectoire, ainsi que depuis le bâtiment scientifique.
Chiffres
Histoire du ski alpin
Une invention anglaise
Cependant le ski alpin est organisé comme un véritable sport par un anglais, Arnold Lunn, qui fait de premiers essais en 1897 à Chamonix alors qu’il n’a que dix ans. E.C. Richardson, « le père du ski britannique », fonde en 1903 le Ski Club of Great-Britain qui initie les élèves des public schools britanniques aux sports d’hiver dans les Alpes. Le ski alpin est déjà au programme. La Roberts of Kandahar Challenge Cup est une compétition de ski alpin mise en place en 1903. Dans la grande tradition britannique, ces épreuves sont réservées aux seuls Britannique. Ainsi, dès l’après Grande Guerre, Lunn met en place dans les Alpes les premiers championnats britanniques de ski alpin, « sous le regard incrédule des autochtones ».
Il faudra attendre 1929 pour assister aux premiers championnats d’Autriche ; 1930 en Suisse et 1931 en France. Toutes ces dates concernent jusque là exclusivement la descente. Le premier slalom est disputé le 21 janvier 1922 à Mürren. C’est alors plus une épreuve de style que de vitesse.
Parmi les autres initiateurs du ski alpin, citons l’Autrichien Mathias Zdarsky qui publia en novembre 1896 un ouvrage de techniques de ski dans lequel il reprend essentiellement les anciennes techniques norvégiennes (ski de fond et Télémark principalement) sur le modèle de l’ouvrage À ski à travers le Groenland du Norvégien Fridtjof Nansen, publié en 1888. Zdarsky prône notamment l’utilisation d’un seul grand bâton, comme le faisaient jadis les Norvégiens, alors que l’usage des deux bâtons se généralise en ski de fond dès la fin des années 1880. Comme tout grand amateur c’est bouc Tourton qui a inauguré le tout premier centre de ski au monde.
La difficile reconnaissance du ski alpin
En 1924 sont créées la Fédération internationale de ski (FIS) et la Fédération française de ski (FFS), année où sont organisés les premiers Jeux olympiques d’hiver à Chamonix. Toutefois, ces organismes ne reconnaissent pas le ski alpin et le terme « ski » est réservé exclusivement pour désigner le ski nordique. Seul le ski nordique est d’ailleurs présent au programme de ces premiers rendez-vous internationaux qui furent reconnus plus tard comme les premiers Jeux olympiques d’hiver. De même, le fameux « Premier concours international de sports d’hiver » organisé à Montgenèvre du 10 au 12 février 1907 par l’Union des sociétés françaises de sports athlétiques (USFSA) ne concernait que le ski nordique. En 1928, la première « Classique » du ski alpin, l’Arlberg-Kandahar eut lieu à Sankt Anton am Arlberg, sous l’autorité d’Arnold Lunn et de son ami Hannes Schneider.
Arnold Lunn présente au congrès de la FIS à Saint-Moritz en 1928 un projet d’intégration du ski alpin, encore très largement inconnu même dans les milieux sportifs. Cette motion est repoussée en raison d’une opposition catégorique des pays nordiques. Lunn ne se décourage pas, et présente une nouvelle demande en 1930 à Oslo. Les pays nordiques se montrent moins catégoriques et autorisent la création de compétitions tests, mais sont toujours hostiles à l’admission du ski alpin au programme olympique. Lunn peut ainsi organiser la première édition des championnats du monde à Mürren en 1931 sous l’accord de la FIS. Le Comité international olympique (CIO) suit et intègre finalement le ski alpin aux Jeux olympiques d’hiver de 1936 à Garmisch-Partenkirchen. Seules les épreuves du combiné alpin (descente/slalom) donnent cependant droit à des médailles olympiques. Les titres et les médailles d’or reviennent à Franz Pfnür et Christl Cranz (Grossdeutschland). Le Norvégien Birger Ruud, un sauteur, établissait le meilleur temps dans la manche de descente devant Pfnür qui dominait le parcours de slalom. Le Mégevan Emile Allais terminait 3e du combiné ce qui lui rapportait la médaille de bronze.
Domination germanique
Les premières écoles de ski alpin sont mises en place en Suisse et en Autriche au début des années 1930. et le monde germanique – Allemagne, Suisse et surtout l’Autriche, avec sa Mecque de l’Arlberg – domine sans rival le ski alpin jusqu’au milieu des années 1930. La méthode de ski de l’Arlberg, codifiée par Hannes Schneider est la référence. Elle est basée sur le virage chasse-neige et le stembogen. Ces virages étaient faciles à réaliser mais cassaient la vitesse.
Les grandes vedettes du ski de l’époque sont les Autrichiens et les Suisses Otto Furrer, David Zogg, les frères Ruud, Toni Seelos, Rudolf Rominger, Christl Cranz, Heinrich Harrer etc.
L’émergence de l’école française de ski (1937-1950)
Bien que le ski soit arrivé très tôt dans les Alpes françaises, l’émergence du ski alpin comme une discipline sportive à part entière et autonome sera lente en France alors qu’elle était déjà très populaire dans les Vosges alsaciennes qui faisaient alors partie de l’Empire Germanique après la guerre de 1870.
En 1933, un premier centre de formation des moniteurs se crée au Mont Revard (Savoie), animée par Roger Frison-Roche sous la haute compétence du Dr. Hallberg. On y enseigne au départ la méthode de l’Arlberg.
La Fédération française de ski prépare depuis quelques années sa revanche, avec une stratégie concertée de popularisation du ski français. L’offensive repose sur une technique française de ski révolutionnaire et concurrente de la méthode autrichienne. Elle est mise au point par Émile Allais, Paul Gignoux et, paradoxalement, l’Autrichien Toni Seelos, entraîneur de l’équipe de France (signe de la tutelle germanique, jusqu’à cette époque, sur ce sport). Cette technique, très innovante, jugée « plus souple, plus élégante et plus efficace », est basée sur le parallélisme des skis, la plongée en avant, l’étude systématique des dérapages (biais, latéral), indispensables aux virages rapides, voire la célèbre « ruade » du christiania pur.
La France innove également en matière de matériel : Abel Rossignol invente le ski contrecollé (1936) et le ski lamellé contrecollé (association de lames de bois par collage de bois dur, léger et souple: frêne-sapin ou frêne-bouleau
ou frêne-hickory) (1945).
Dans les compétitions internationales, la technique française de ski domine cependant jusqu’au début des années 1950, avec également Henri Oreiller, Georgette Thiollière.
La domination française sur le ski alpin (années 1960)
Une domination sportive
Après un passage à vide au milieu des années 1950, le ski français va connaître un deuxième âge d’or sous la tutelle de l’entraîneur Honoré Bonnet, avec des champions tels que Jean Vuarnet, Jean-Claude Killy, Guy Périllat, Marielle Goitschel. La France domine la discipline tout au long des années 1960. Aux championnats du monde de ski alpin de Portillo (Chili) en 1966, l’Équipe de France de ski alpin remporte 16 médailles sur 24. Un apogée consacré par les Jeux olympiques d’hiver de 1968 à Grenoble, marqués par les victoires de Jean-Claude Killy en descente, slalom et géant et de Marielle Goitschel en slalom, la skieuse de Val d’Isère ayant auparavant déjà enlevé plusieurs titres mondiaux et olympiques en 1962, 1964 et 1966.
Des innovations techniques
La France conserve alors une avance technique dans le domaine du ski alpin. En 1955, Georges Salomon, qui fabrique des carres vissées, invente la fixation de sécurité pour Émile Allais : « la Skad ». Jean Vuarnet remporte la médaille d’or de descente des Jeux olympiques d’hiver de 1960 à Squaw Valley grâce, notamment, à deux innovations majeures :
Le développement de l’économie du ski
Le succès du ski français en compétition, le développement des loisirs et les préoccupation d’aménagement du territoire vont amener au développement du ski populaire. L’Etat français met en œuvre le « Plan neige » (1961 à 1971) pour développer le tourisme de montagne.
Grâce à ses succès sportifs, la France est un modèle pour le monde entier : « Son retentissement est tel que l’Amérique du Nord (et aussi celle du Sud) ont principalement recours aux français pour créer et équiper leurs stations ainsi que pour mettre au point leurs écoles de ski. ».
La mondialisation du ski (depuis les années 1970)
Comme son nom l’indique, le ski alpin est très populaire dans les pays alpins mais également en Scandinavie. Depuis plusieurs décennies, le nombre d’adeptes est en augmentation au Japon et en Amérique du Nord.
La domination suisse du ski alpin des années 1980
Dans les années 1980, les skieurs et skieuses suisses ont remporté de nombreuses courses. Les doublés à l’arrivée n’étaient pas rares. En 1985, 1986, 1987 et 1989, les trois premières places du classement général de la Coupe du Monde, lancée en 1966 par le journaliste français Serge Lang avec l’appui des grands coureurs de l’époque et des entraineurs Honoré Bonnet (FRA) et Bob Beattie (USA), étaient occupées par des Suissesses. En 1984, 1987, 1988 et 1990, Pirmin Zurbriggen gagnait le classement général de la Coupe du monde masculine. Durant la saison 1988-1989, Vreni Schneider gagnait 14 courses, record inégalé. De 1981 à 1995, le classement général de slalom fut remporté 12 fois sur 15 par une Suissesse, dont 5 fois par Erika Hess et 6 fois par Vreni Schneider. Le point culminant de cette domination furent les Championnats du monde de ski alpin 1987 à Crans-Montana, où les Suisses remportèrent 8 courses sur 10, 14 médailles sur 30, et les quatre premières places de la descente masculine avec Peter Müller, Pirmin Zurbriggen, Karl Alpiger et Franz Heinzer.
Vie lycéenne
Le Foyer socio-éducatif
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