Rational unified process
<span class="mw-headline" id="Rational_unified_process« >Rational unified process
Le Rational User Conference 2002, qui s’est tenue à Orlando cette semaine, devrait voir la société annoncer la sortie de la version 2.1 de Rational XDE Professional. Cette nouvelle version devrait contribuer à prolonger la conception d’applications avec UML pour le développement d’applications en utilisant Visual Basic.Net et ASP.Net Microsoft. Rational a aussi un plug-in qui permet aux développeurs d’utiliser les principes de l’Extreme Programming (XP). Rappelez-vous qu’XDE (eXtended Developpment Environnement) intègre la conception et le développement dans un environnement unique. Avec cette nouvelle version, selon Roger Oberg, vice-président du marketing produit chez Rational, ‘les développeurs utilisant Visual Studio. Net et ont XDE va maintenant être en mesure de continuer à pratiquer l’ingénierie même aller-retour pour s’entraîner avec C # XDE environnement. round-trip engineering est la possibilité de concevoir une application utilisant les modèles UML et impliquer tous de produire du code en C # ou Visual Basic.The UML est un langage de modélisation permettant d’identifier et de présenter les éléments d’un objet système au cours de son développement, et aussi pour produire plus documentation.Par, rationnelle et Object Mentor assisteront à la conférence sur le plug-in RUP (rational unified process) XP développement (eXtreme Programming).À l’origine, le processus unifié RUP doivent fournir un ensemble de méthodes et l’approche à l’étape de développement. Ce nouveau plug-in pour Windows XP permettra aux développeurs d’utiliser Rational techniques XP en fournissant un workflow, des lignes de direction pour les aider dans l’écriture de code.
Nous développons des applications de gestion informatique en général: gestion de la clientèle, d’assistance, éditeur de logiciels spécialisé … Ils sont principalement les interfaces web, parfois des applications riches.
Les langues sont utilisées pour les trois quarts de Java et le quart restant de la plate-forme C #. Net. Nous développons également avec d’autres langages comme Python, mais cela reste anecdotique. Comme les environnements de développement, nous utilisons Eclipse pour Java. For.Net, nous utilisons Visual Studio et SharpDevelop environnements Open Source.
Nous utilisons Agile pour améliorer nos méthodes de travail sous deux angles: le retour sur investissement et le développement durable. Nous pratiquons trois méthodologies Agile.
Nous utilisons surtout pour la gestion de projet Scrum pure. Il s’agit d’un très faible technologie, très peu de restrictions, il n’y a que quelques objets et des règles à suivre. Ce n’est pas une méthode en soi, plutôt un cadre. Nous mettons en oeuvre nos méthodes sur une base quotidienne, pour répondre à nos plans.Contrairement rational unified process, où les consultants d’adapter le processus a priori, Scrum nous permet de réfléchir sur le travail effectué après chaque livraison. Nous avons une perspective «peu petite livraison à la livraison’.
Scrum ne permet pas la pratique du développement, raison pour laquelle nous utilisons Xtreme de programmation. Nous avons 14 pratiques comme le test, binômage, l’intégration, la refactorisation … La méthodologie utilisée pour le développement sur une basis.It quotidienne nous permet de faire du développement vraiment adapté à un contexte Agile: nous écrire le code nécessaire pour la livraison, en évitant de perdre du temps sur le code qui n’est pas utile.
Ces Lean Développement de logiciels, qui offre une vision stratégique sur les projets. Il s’agit d’une méthode formalisée pour le développement. Il a deux points de vue: une vue de haut niveau nous donne une chaîne de valeur totale du projet. Il offre des outils pour optimiser la façon dont nous travaillons. Il met l’accent sur les dirigeants et les gestionnaires de projet.
Lean développement logiciel offre également quelques pratiques. Par exemple, l’un d’eux est de proposer et mettre en œuvre plusieurs solutions. Nous évitons de prendre des décisions hâtives et nous développons plusieurs prototypes. Ensuite, nous décidons qui est le mieux. Nous suivons l’idée de Lean Software Development: la prise de décisions au dernier moment en raison.
La communication entre les développeurs et le résultat est un grand défi pour nous aujourd’hui, de notre customers.We demander à l’équipe d’automatiser la production, qui fonctionne souvent bien à travers le serveur d’applications. Mais il est plus difficile d’aller jusqu’à ce que le démarrage de la production. Nous utilisons des outils comme Bitforce, SCM4ALL dim. SMC ….. Nous essayons de vraiment aller de l’avant sur ces outils pour satisfaire nos clients.
Bien sûr. Mais nous avons d’abord examiner s’il existe vraiment besoin. Nous utilisons la méthode Agile: qu’at-il passé? Quelles sont les solutions? Et de là nous avons décidé de mettre en place des outils. Nous utilisons souvent des wikis pour les équipes de développement: partager et capitaliser sur la compréhension des exigences fonctionnelles.
Nous utilisons également des outils techniques ou des blogs. En général, nous développons des outils de grande exemples visibles: toutes les informations sont affichées sur le mur de l’équipe, chaque tâche est une technique de post-it. Les outils de fournir un maximum de possibilités de classe entreprise sont des projets intéressants et complexes. Par exemple Rally. Nous les utilisons pour projects.In grand cas de quelques équipes, nous avons créé le premier post-it système. Nous pouvons également utiliser des chats, des webcams, …
Nous utilisons des outils très doux. Nous établissons des deux chartes de qualité: un pour l’équipe et avec le chef de produit orienté client.Nous présentons quelques principes: respect de certains critères, de se concentrer sur les besoins des clients. Nous lançons chaque étape lorsque les caractéristiques précédentes sont complètement terminé. Il suit l’équipe des outils pratiques: des outils pour le code source d’intégration de contrôle continu.
nous PMD comme un outil de mesure de la qualité pour Java. xUnit est utilisé pour l’écriture des tests unitaires. FXscope nous permet de synthétiser les résultats dans utilisables gestionnaires de projets axés sur les résultats. Des outils prêts ne sont pas facilement accessibles pour nous construisons nos propres outils, ou nous pouvons adapter certains Qalab exemple. Le but est d’avoir un aperçu des données. Thesecomponents sont souvent intégrés aux outils d’intégration continue. Notre développement est piloté par les tests: on écrit les premiers essais, puis le code.
Unified Process (UP UP ou en anglais pour Unified Process) est un mode de gestion du cycle de vie du développement logiciel et donc, pour le logiciel orienté objet. Il s’agit d’une méthode générique, itérative et incrémentale, par opposition à la Merise séquentielle (ou SADT).
PU complète les modèles systémiques UML. Il est l’aboutissement d’une évolution de l’approche d’Ericsson est le fondement de l’une des premières méthodes développées pour des applications orientées objet, la méthode Objectory Process (1987). Processus Objectory (version 1 à 3.8 en 1995) s’est servi de base à l’entreprise de créer Rational Rational Objectory Process (1997) (version 4.1), d’un parent direct des RUP en 1998.
RUP
RUP est l’une des implémentations les plus populair
es de la PU méthode, livré clés en main à fournir un cadre pour développer des logiciels pour répondre aux exigences de base recommandé par les créateurs d’UML:
UML est souvent qualifié de langage de modélisation et peut réellement «penser objet» au moment de la conception, la modélisation, de l’objet pour en faciliter le développement. Mais ses créateurs et membres de l’OMG, étaient bien au courant, le cycle de vie du logiciel, le processus de création et même la conception de ces modèles n’est pas du tout pris en charge par UML. La raison en est simple: Comment prendre en compte la diversité des projets, les questions, les équipes et les cultures d’entreprise dans une seule méthode? Telle est la question délibérément laissées en suspens par l’OMG qui répond PU et ses divers avatars (RUP, XUP, UPA, EUP, 2TUP, EssUP). Il est nécessaire de maintenir une certaine souplesse dans le contexte de société qui PU est essentiellement génériques.
Les abréviations utilisées
Note: Nous allons utiliser des abréviations pour plus de commodité.De préférence être utilisé acronymes que leur traduction en français quand on parle des concepts ou les méthodes génériques non instancié. En revanche, nous gardons la terminologie anglo-saxonne pour parler de corps.
Opération
Le pilotage par les diagrammes de cas d’utilisation (DCU) est d’une importance pratique: la DCU, nous devons tirer les modèles d’analyse, de conception, de déploiement. Ce sont eux qui se trouvent et quels sont les cas d’utilisation qui devraient régir le développement de lignes de tests: les cas d’utilisation devrait finalement être autorisé par le nouveau logiciel. La DCU sont des modèles qui assurent la cohérence du processus de développement. Ce sont eux qui unifient. Enfin, la DCU sont, de par leur nature, intrinsèquement liée à l’architecture du système.
Il est conçu à partir du début d’une manière très pragmatique: il est adapté au contexte de travail, les besoins de l’utilisateur, la réutilisation (réemploi) des bibliothèques ou des ‘briques’ de base.
L’architecture de développement est d’abord des cas d’utilisation secondaires et indépendante (nous, cependant, qu’il n’a pas les atteindre), puis un sous-ensemble des fonctions de base est identifié et l’architecture est répétée et détaillée qui suit cette série.Spécification de l’exactitude des cas, l’architecture évolue, y compris éventuellement de nouveaux cas, et ainsi de suite, jusqu’à ce que l’architecture a atteint un niveau suffisamment élevé de développement et stable du plomb dans l’élaboration d’un prototype qui sera présenté au client, complétant ainsi une itération.
Une itération est la séquence d’activité. Une augmentation est un pas dans les stades de développement. A chaque itération on retrouve les phases de spécification des exigences (création), le développement, au prototypage executable.A nouvelle itération, par exemple, après une démonstration du prototype aux utilisateurs, reprendra la spécification confirmant ou de corriger, puis la reprise du développement, etc .
Les augmentations sont définis par le projet, et chaque incrément ajoutera de nouvelles fonctionnalités. Incrémente peut suivre différents cas d’utilisation par exemple. La difficulté réside dans le fait de combiner la finale sous-projets ou des augmentations ensemble et le respect de leurs interdépendances et la cohérence d’ensemble du produit envisagé. Il est donc aussi une forme de composants de développement est proposé. Il utilisera les meilleures contributions des technologies objet.
PU intègre les deux mentionnés afin de minimiser le risque de contre-sens par rapport aux besoins et le risque de l’évolution infinie, indéterminée, imprécise et incomplète: Ici, l’utilisateur peut corriger lui-même, les prototypes, tour que prend le développement. Au début, des résultats tangibles sont obtenus même si seulement une des implémentations de PU prototypical.Some considèrent d’ailleurs que les prototypes des versions complètes du système final. Les postes subalternes peuvent ainsi, dans un tel contexte, être abandonnées le long de la voie à des questions de coût ou de temps par exemple. Enfin, si les besoins des utilisateurs les changements au cours du développement, cela peut être, dans une certaine mesure, intégrée. Ce n’est pas le cas dans le contexte d’un développement séquentiel.
PU prévoit le cycle de vie global où les itérations (spécifications des tests d’analyse de conception de mise en œuvre) sont regroupés en catégories. Ces activités sont soit d’origine (créative) ou intermédiaire (préparation, de construction) ou définitive (passage à l’utilisateur ou la mise en production). Ces catégories d’activité la réalisation du produit coupé comme une succession temporelle (séquences) mais comprennent toutes les tâches de structuration du projet (raffinage itérations successives) et de proposer une organisation matricielle du volume total d’activité à condition que:il est clair que la phase de création, une plus grande proportion du temps sera consacrée à l’analyse des besoins que de tester et, inversement, dans une phase de transition, les tests sont toujours en cours, l’analyse des besoins et de sa théorie de raffinage sont enroulées à partir de la phase de construction:
Opération
Le pilotage par les diagrammes de cas d’utilisation (DCU) est d’une importance pratique: la DCU, nous devons tirer les modèles d’analyse, de conception, de déploiement. Ce sont eux qui se trouvent et quels sont les cas d’utilisation qui devraient régir le développement de lignes de tests: les cas d’utilisation devrait finalement être autorisé par le nouveau logiciel. La DCU sont des modèles qui assurent la cohérence du processus de développement. Ce sont eux qui unifient. Enfin, la DCU sont, de par leur nature, intrinsèquement liée à l’architecture du système.
Il est conçu à partir du début d’une manière très pragmatique: il est adapté au contexte de travail, les besoins de l’utilisateur, la réutilisation (réemploi) des bibliothèques ou des ‘briques’ de base.
L’architecture de développement est d’abord des cas d’utilisation secondaires et indépendante (nous, cependant, qu’il n’a pas les atteindre), puis un sous-ensemble des fonctions de base est identifié et l’architecture est répétée et détaillée qui suit cette série.Spécification de l’exactitude des cas, l’architecture évolue, y compris éventuellement de nouveaux cas, et ainsi de suite, jusqu’à ce que l’architecture a atteint un niveau suffisamment élevé de développement et stable du plomb dans l’élaboration d’un prototype qui sera présenté au client, complétant ainsi une itération.
Une itération est la séquence d’activité. Une augmentation est un pas dans les stades de développement. A chaque itération on retrouve les phases de spécification des exigences (création), le développement, au prototypage executable.A nouvelle itération, par exemple, après une démonstration du prototype aux utilisateurs, reprendra la spécification confirmant ou de corriger, puis la reprise du développement, etc .
Les augmentations sont définis par le projet, et chaque incrément ajoutera de nouvelles fonctionnalités. Incrémente peut suivre différents cas d’utilisation par exemple. La difficulté réside dans le fait de combiner la finale sous-projets ou des augmentations ensemble et le respect de leurs interdépendances et la cohérence d’ensemble du produit envisagé. Il est donc aussi une forme de composants de développement est proposé. Il utilisera les meilleures contributions des technologies objet.
PU intègre les deux mentionnés afin de minimiser le risque de contre-sens par rapport aux besoins et le risque de l’évolution infinie, indéterminée, imprécise et incomplète: Ici, l’utilisateur peut corriger lu
i-même, les prototypes, tour que prend le développement. Au début, des résultats tangibles sont obtenus même si seulement une des implémentations de PU prototypical.Some considèrent d’ailleurs que les prototypes des versions complètes du système final. Les postes subalternes peuvent ainsi, dans un tel contexte, être abandonnées le long de la voie à des questions de coût ou de temps par exemple. Enfin, si les besoins des utilisateurs les changements au cours du développement, cela peut être, dans une certaine mesure, intégrée. Ce n’est pas le cas dans le contexte d’un développement séquentiel.
PU prévoit le cycle de vie global où les itérations (spécifications des tests d’analyse de conception de mise en œuvre) sont regroupés en catégories. Ces activités sont soit d’origine (créative) ou intermédiaire (préparation, de construction) ou définitive (passage à l’utilisateur ou la mise en production). Ces catégories d’activité la réalisation du produit coupé comme une succession temporelle (séquences) mais comprennent toutes les tâches de structuration du projet (raffinage itérations successives) et de proposer une organisation matricielle du volume total d’activité à condition que:il est clair que la phase de création, une plus grande proportion du temps sera consacrée à l’analyse des besoins que de tester et, inversement, dans une phase de transition, les tests sont toujours en cours, l’analyse des besoins et de sa théorie de raffinage sont enroulées à partir de la phase de construction:
Opération
Le pilotage par les diagrammes de cas d’utilisation (DCU) est d’une importance pratique: la DCU, nous devons tirer les modèles d’analyse, de conception, de déploiement. Ce sont eux qui se trouvent et quels sont les cas d’utilisation qui devraient régir le développement de lignes de tests: les cas d’utilisation devrait finalement être autorisé par le nouveau logiciel. La DCU sont des modèles qui assurent la cohérence du processus de développement. Ce sont eux qui unifient. Enfin, la DCU sont, de par leur nature, intrinsèquement liée à l’architecture du système.
Il est conçu à partir du début d’une manière très pragmatique: il est adapté au contexte de travail, les besoins de l’utilisateur, la réutilisation (réemploi) des bibliothèques ou des ‘briques’ de base.
L’architecture de développement est d’abord des cas d’utilisation secondaires et indépendante (nous, cependant, qu’il n’a pas les atteindre), puis un sous-ensemble des fonctions de base est identifié et l’architecture est répétée et détaillée qui suit cette série.Spécification de l’exactitude des cas, l’architecture évolue, y compris éventuellement de nouveaux cas, et ainsi de suite, jusqu’à ce que l’architecture a atteint un niveau suffisamment élevé de développement et stable du plomb dans l’élaboration d’un prototype qui sera présenté au client, complétant ainsi une itération.
Une itération est la séquence d’activité. Une augmentation est un pas dans les stades de développement. A chaque itération on retrouve les phases de spécification des exigences (création), le développement, au prototypage executable.A nouvelle itération, par exemple, après une démonstration du prototype aux utilisateurs, reprendra la spécification confirmant ou de corriger, puis la reprise du développement, etc .
Les augmentations sont définis par le projet, et chaque incrément ajoutera de nouvelles fonctionnalités. Incrémente peut suivre différents cas d’utilisation par exemple. La difficulté réside dans le fait de combiner la finale sous-projets ou des augmentations ensemble et le respect de leurs interdépendances et la cohérence d’ensemble du produit envisagé. Il est donc aussi une forme de composants de développement est proposé. Il utilisera les meilleures contributions des technologies objet.
PU intègre les deux mentionnés afin de minimiser le risque de contre-sens par rapport aux besoins et le risque de l’évolution infinie, indéterminée, imprécise et incomplète: Ici, l’utilisateur peut corriger lui-même, les prototypes, tour que prend le développement. Au début, des résultats tangibles sont obtenus même si seulement une des implémentations de PU prototypical.Some considèrent d’ailleurs que les prototypes des versions complètes du système final. Les postes subalternes peuvent ainsi, dans un tel contexte, être abandonnées le long de la voie à des questions de coût ou de temps par exemple. Enfin, si les besoins des utilisateurs les changements au cours du développement, cela peut être, dans une certaine mesure, intégrée. Ce n’est pas le cas dans le contexte d’un développement séquentiel.
PU prévoit le cycle de vie global où les itérations (spécifications des tests d’analyse de conception de mise en œuvre) sont regroupés en catégories. Ces activités sont soit d’origine (créative) ou intermédiaire (préparation, de construction) ou définitive (passage à l’utilisateur ou la mise en production). Ces catégories d’activité la réalisation du produit coupé comme une succession temporelle (séquences) mais comprennent toutes les tâches de structuration du projet (raffinage itérations successives) et de proposer une organisation matricielle du volume total d’activité à condition que:il est clair que la phase de création, une plus grande proportion du temps sera consacrée à l’analyse des besoins que de tester et, inversement, dans une phase de transition, les tests sont toujours en cours, l’analyse des besoins et de sa théorie de raffinage sont enroulées à partir de la phase de construction:
Références externes
Pour plus d’informations à jour, veuillez consulter la dernière version du métamodèle [TC 2.0, Software Process Engineering métamodèle] de l’OMG. ‘
‘
<!–
NewPP limit report
Preprocessor node count: 11/1000000
Post-expand include size: 57/2097152 bytes
Template argument size: 0/2097152 bytes
Expensive parser function count: 0/100
–>